Plusieurs raisons peuvent vous pousser à envisager de Résiliation de mutuelle, notamment si vous souhaitez faire des économies et/ou trouver une meilleure prise en charge.
La loi Chatel est applicable et impose à votre assureur santé de vous informer de la prochaine échéance de votre contrat 75 jours avant celle-ci. Cela vous permet de résilier votre mutuelle santé dans les délais prévus dans le contrat, généralement 2 mois avant l'échéance.
Les Français peuvent résilier leur assurance santé à tout moment et sans frais, après la première année du contrat.
Par exemple, pour une échéance au 1er avril, votre mutuelle doit vous prévenir au plus tard le 15 janvier. 3 scénarios de résiliation de votre mutuelle avec la loi Chatel sont alors possibles : Votre assureur vous prévient avant le 15 janvier –> la loi Chatel permet la résiliation de votre mutuelle avant le 31 janvier.
Comme le prévoit l'article L113-12 du Code des Assurances, "l'assuré a le droit de résilier le contrat à l'expiration d'un délai d'un an, en envoyant une lettre recommandée à l'assureur au moins deux mois avant la date d'échéance".
Résiliation de mutuelle est relativement facile, sous réserve de respecter les délais et les conditions de résiliation.
Aujourd'hui en France, un senior dépense en moyenne 94 euros par mois pour sa mutuelle. Un couple de retraités devra donc débourser 188 euros chaque mois pour sa couverture santé.
La bonne mutuelle à 70 ans à prix avantageux comprend les garanties médicales nécessaires pour les seniors. Cependant, les meilleures formules incluent d'autres atouts utiles à 70 ans, 80 ans et même 90 ans.
Vous pouvez refuser d'adhérer au dispositif de complémentaire santé (mutuelle) ou de prévoyance complémentaire obligatoire de votre employeur uniquement dans certains cas.
Un principe d’adhésion obligatoire, pour tous les salariés, dans toutes les santes
En vertu de la loi ANI, tout employeur est tenu de proposer à ses employés une mutuelle d’sante. Ces contrats d’assurance santé sont dits « collectifs » car ils concernent théoriquement tous les salariés, quels que soient leur statut, leur fonction ou leur ancienneté. Et ces derniers ne peuvent pas, en principe, refuser d’adhérer à la mutuelle qui leur est proposée.
La complémentaire santé choisie doit satisfaire au niveau minimal de garanties exigé par la loi. A minima elle doit garantir :
L'employeur doit participer pour au moins 50 % du montant des cotisations, le reste étant à la charge du salarié. La complémentaire peut concerner également les ayants droit du salarié, même s'il ne s'agit pas d'une obligation.
En plus de ces garanties minimales obligatoires, la complémentaire santé peut proposer des prestations supplémentaires, par exemple :
le tiers-payant des services d'assistance (par exemple : aide-ménagère, garde d'enfants, etc.) des dispositifs spécifiques de prévention et/ou d'accompagnement (par exemple : prise en charge de dépistage de certaines maladies).Pour mettre en place une complémentaire santé, plusieurs solutions s'offrent à l'employeur :
Dans tous les cas l'sante négocie elle-même le contrat et en assure le suivi avec l'organisme assureur qu'elle a sélectionné.